Chère amie, merci de ta bonne volonté. J'ai craint de ne pouvoir te rencontrer. Le moment était écrit depuis longtemps mais tes yeux n'ont pas voulu s'ouvrir plus vite. Maintenant je pourrai très régulièrement te contacter.
Chère amie, les aides que NOUS pourrons apporter te rempliront de Grâces et de Joies. Tu n'as rien à redouter. Tu as uniquement à te laisser porter. Poses toi et reposes toi dans mes mains. Tu verras s'ouvrir des portes fabuleuses et tu apporteras Grâces et Joies.
NOUS t'en rions ! L'heure est venue de nous aider. L'heure est là. Tu peux bien sûr refuser. Nous ne te poserons plus la question. Tu peux refuser mais poses toi UNE question : pourquoi refuser ?
Sais tu à quel point tu peux aider ? Sais tu à quel point ton aide est attendue ? Comment peux tu envisager de fermer les yeux ? Comment pourrais tu maintenant m'oublier ?
Claudine a reçu en plus de ce message proprement dit, de nombreux "repères" (prénoms, descriptions de situations particulières) qui lui ont permis d'identifier la provenance de ce beau message d'encouragement.
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