mardi 19 mai 2015

POUR VERONIQUE DE LA PART DE QUENTIN

Dans mon deuxième livre "Merci ma petite maman", vous avez fait connaissance de Véronique qui était venue me voir en 2007 pour recevoir un message de son frère Christophe. Par la suite des liens d'amitié se sont créés et c'était avec beaucoup d'émotion que je l'avais accompagnée il y a quelques mois à l'aéroport : elle partait s'installer pour deux ans au Cameroun.

Le 30 Mars dernier, Véronique apprenait le départ volontaire de son fils Quentin resté en France.

L'éloignement géographique n'a pas d'importance et environ  un mois après cet évènement j'ai pu transmettre le message qui suit à Véronique.

Que les proches de Quentin puissent lire ce message m'a semblé important, comme un cadeau d'anniversaire pour lui qui aurait fêté ses 18 ans aujourd'hui...

Maman, tu es forte maman et je suis heureux et fier de te voir. Tu me fais parfois voir que j'ai eu tort...

Ne pleures pas trop maman. Tu as raison de te projeter pour demain. Ta découverte de l'Afrique va se poursuivre. Tu vas bientôt reprendre l'avion et tu seras si heureuse encore. Tu pourras réaliser ton vrai rêve. Je parle de ton coeur.

Je suis vraiment bien entouré. "On" me donne le temps de guérir.

Cela semble curieux de penser cela que le passé terrestre doit être "guéri".  C'est un peu comme si je regardais un film et je dois analyser ce que je vois. Je dois comparer avec le programme que j'avais envisagé avant de venir.


Je suis satisfait de certaines choses... quelques actes manqués me demandent réflexion.


Maman, tu dois s'il te plaît réfléchir à une proposition qui te sera faite. Que tu pourrais vouloir accepter vite puis refuser, rejeter aussi vite. Tu devrais prendre le temps de comprendre certains codes.


Tu seras un peu perdue au début. Tout te semblera trop difficile... mais donnes du temps à ton temps car le bout du chemin est parsemé de lys...


Je vous aime. JE REVIENDRAI MAMAN. Tu ne rêves pas.


Je t'embrasse


Quentin a aussi donné un très beau message à son frère Clément mais que Véronique (pour une raison que je  ne comprends pas mais que je respecte) ne souhaite pas voir publié.



















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